Comme chez Ernst Lubitsch autrefois, l’intelligence et le style deviennent l’essentiel, voire le sujet même du film.
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LE TEMPS
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En plus d’un ton enjoué, le réalisateur a su imposer à son film une cadence sans temps morts, plutôt rare dans ce type d’intrigue romantique.
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LA LIBERTÉ
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La mise en scène aussi somptueuse que malicieuse (de Whit Stillman) rend parfaitement justice à l’écrivain qu’il a découvert lorsqu’il avait 18 ans.
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20MINUTES
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Comme souvent chez Jane Austen, on rit beaucoup, mais on rit jaune. Il faut également rendre grâce à Kate Beckinsale, toujours parfaite dans les rôles en costumes, qui campe cette peste de lady Susan à la perfection, avec juste ce qu'il faut d'esprit, de sarcasme et d'amertume : Jane Austen l'aurait adoubée.
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LE PARISIEN
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Une adaptation de Jane Austen très enlevée, par l'un des plus subtils et malicieux sismographes du sentiment amoureux.
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LES INROCKUPTIBLES
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